Nguyễn-Thị-Trâm-Anh
Née le 11-11-1922

s’est éteinte le 08 Mai 2014 à 20 heures 5

Quitte définitivement cette terre,
Pour aller au séjour de la paix,
Emportant sans retour,
Ses soixante-huit années de vertueuse amour,
Je rends grace à la nature sage,
Pour l’avoir fait vivre en cet âge............

Ô! Bien-Aimée, notre union fut une merveille,
Tu es le plus beau de tous les soleils,
Restons ensemble pour l’Éternité,
Je te supplie de ne jamais me quitter............

Ô! Bien-Aimée, ça y est Tu es parti,
Ta vie sur cette terre est finie,
La mort est pour Toi la délivrance,
Mais mon cœur se serre, je souffre en silence,
J’aurais aimé mourir avant Toi,
Pour n’avoir pas à vivre sans Toi..........

Ô Ma Muse! comment puis-je oublier,
Les moments de bonheur partagés?
Ma vie sans Toi n’a plus de sens,
Mon cœur saigne de ton absence,
Mon âme déchirée, à jamais meurtrie,
Pour toujours, ma cithare ne revit plus dans tes yeux fleuris...........

Ô Bien-Aimée! Je nourris l’espoir de te revoir.
Mais t’ai attendue en vain chaque soir,
Où te caches-Tu, es-Tu à mes côtés,
Est-ce que le Très-Haut t’a protégée,
Pardonné tes défaillances,
Pour te donner la bienveillance?............

Le bonheur que tu remplissais mon coeur,
Pour toujours, grandira sous mes pleurs,
Mon esprit en fuite avec le temps,
Rien ne peut peser ma souffrance...............

Dans la solitude au vent de bise pénétrant et froid,
Je regarde tes photos chaque soir,
Une à une, sous la lumière vacillante,
À l’ombre du rêve, seul à causer avec l’absente........

Mon cœur se noie,
Mon âme est dans le désarroi,
J’aimerais t’avoir à mes côtés,Rien qu’un instant, pour te toucher,
Sentir ton odeur, ta chaleur
Pour réchauffer mon pauvre cœur..............

Je voudrais te voir sourire,
Pour saisir tes éclats de rire,
Écouter le doux son de ta voix
Rien qu’un moment,
Riên qu’une seule fois.............

Ô! Mon Ange,
Tout ce que nous possédons,
S’évapore à l’horizon,
Plus rien à espérer,
Plus rien à rêver............

De cette existence éphémère,
Que puis-je encore trouver,
Pour me permmettre d’y attacher,
Dans la nuit, aux funèbres insomnies,
Mon coeur me fend, dans l’âme monte,
Sur l’oreiller, je vire, je tourne et crie ton nom,
Dans l’amertume, j’invoque le secours du Ciel,
Et attendre la mort avec impatience.........